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  • Pour le senior

    Pour le senior

    Une intervention ostéopathique douce et adaptée permettra de diminuer certaines limitations articulaires, tensions musculaires, compensations du corps et autres symptômes liés à de l’arthrose, des prothèses de genou ou de hanche, etc. Cette prise en charge est intéressante afin de :

    – Maintenir une bonne mobilité articulaire et tissulaire

    – Prévenir les chutes

    – Diminuer les douleurs

    – Préserver une bonne qualité de vie en vous donnant la possibilité de continuer ou reprendre vos activités quotidiennes.

    Quand venir consulter ?

    – Suite à un traumatisme (entorses, séquelles de fractures…)

    – en cas de douleurs aigues (lumbagos, torticolis…)

    – en cas de douleurs chroniques

    – suite à une intervention chirurgicale

    – à visée de prévention et de confort de vie

     

    Un bilan régulier chez votre ostéopathe (2 à 3 séances par année) et une bonne hygiène de vie peuvent diminuer les tensions et douleurs qui s’accumulent et, ainsi permettre de limiter la prise d’anti-inflammatoires et antalgiques.

     

    L’arthrose

    L’arthrose s’installe, de préférence, sur un segment qui a été  trop sollicité alors que l’articulation présentait des tensions. Elle s’installe progressivement en réduisant de plus en plus la mobilité de l’articulation.

    Le but de l’ostéopathie est de réduire les douleurs créées par l’arthrose, en redonnant de la mobilité et de la souplesse à la zone concernée. L’ostéopathe rééquilibrera également le reste du corps, de façon douce et non traumatisante, afin qu’il n’y ait pas de contraintes excessives sur la zone.

     

     

    Alzheimer

     
    Certaines études montrent qu’une prise en charge ostéopathique régulière permet d’améliorer la qualité de vie des patients atteints de la maladie d’Alzheimer. Elle offre aux malades une prise en charge globale en agissant sur des symptômes tels que : des troubles digestifs, des troubles du sommeil, des troubles de la déglutition et de la respiration, … Mais également, grâce au contact physique, elle permet de conserver un pont entre notre monde et le monde du malade, mais aussi de rassurer et d’accompagner l’aidant, sur qui pèse une lourde responsabilité.